Diderot II 3 – Premiers pas sur le néant

je ne sais en quel sens tous les corps gravitent dans les corps des géomètres
ni quel vaisseau renferme ma tendance au repos
je ne connais de l’essentiel qu’un inaltérable instant
un indivisible oubli dans l’indifférence
vers ma dissolution
car ma pensée
en elle-même
se détruit

par moi-même sans mouvement et sans vigueur
par moi-même inexistant
imaginé-je le repos hors du feu
de cette réalité qui n’existe point Continuer la lecture de « Diderot II 3 – Premiers pas sur le néant »

Diderot II3 – K

Il ya dizans – reculer, avancer – por mas que yo hago, au lieu d’un oiseau muet comme ce livre de bord maculé, … , fabriquer du chocolat comme battre monnaie, manuscrit de machine qui frappe aux portes indescriptibles ; réussir son tiers état avec simplicité ouvre le jour à faire passer les choses la nuit. Au pis aller va le bois mort puisqu’on met les voiles rarement au petit galop et ainsi : mercader de por mayor/mercader de por menor en guise de moulin à bras tout de suite reconnaît le vin pur qui se rue sur les garçons d’écurie de la littérature marchande. Pour être plus sympa, disons garçons de boutique et n’en parlons plus ! Par suite d’un penchant naturel – qui sait : semblable à la tour de Pise – les nouveaux-nés changent d’air à l’aide d’une chanson qui, musicalement, cherche un motif au danger voire au péril à suivre, …/… : tandis que vous lisez ce texte – est-ce nécessaire ? – d’où je pense que l’écrivain se réfugie au cœur du sujet – est-ce nécessaire ? – d’où je pense réellement que l’(h)auteur diminué de sa hache n’est qu’un petit mérite du règne animal, une résultante de l’économie et de la structure sociale des fourmis, abeilles & termites ; Continuer la lecture de « Diderot II3 – K »